•                  J'ai découvert il y a peu le travail d'un jeune photographe d'environ 20 ans nommé Maxime Franch. J'ai beaucoup aimé son approche de la photographie, et j'ai donc décidé de m'informer pour vous parler de ses photos, notamment de son projet de portraits « Sans-Abris ».

     

         Alors que certains d'entre nous n'osent pas regarder en face les Sans-abris, par peur, ou parfois malheureusement par mépris, d'autres les évitent, peut être pour fuir la réalité de la misère, de la pauvreté qu'incarnent ces gens… Puis, il y a des gens comme M.Franch, qui aident ces personnes, avec un café, un repas, une courte discussion… C'est de là qu'est né son projet « Sans-Abris ».

         

         Ce projet se constitue d'un série de portraits, la plupart en gros plan, ainsi qu'un contraste noir/blanc très marqué. Cette série de photographie dépeint donc une réalité , pourtant, d'après un article lu sur le site de Mr Mondialisation, Maxime Franch ne cherche pas qu'à mettre une lumière sur les sans abri. Il cherche également à réconcilier ces Hommes avec leur image, lors d'une nouvelle rencontre, en leur montrant leur photographie.

     

     

     

                                                              De gauche à droite: illi, Marcel, Gabriel, Joël, Joël & Ugo et Fernand

     

     

     

     

    Site Web de Maxime Franch où vous pouvez trouver ses différents projets comme celui autour de mains "Hands" 

    Et Sa page Facebook

     

     

     

     


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  • Hello Hello...

    Encore une fois je reviens après un long moment d'absence... Toujours et encore. Enfin, ces derniers temps je recommence à lire beaucoup, et ça me redonne envie d'écrire, mais quoi? J'ai du mal à cerner mes pensées, car trop d'idée dans ma tête. 

    Enfin, je pense que cet article n'est pas forcement nécessaire, mais, j'en ai besoin j'crois, c'est bizarre. 

     

    Ama.


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  •  

    C'était une nuit de pleine lune. Il avait neigé toute journée mais une légère brise avait fait fuir les nuages. J'observais la lune. Elle faisait pâlir la pénombre de ma petite chambre. Je pensais à ton petit tatouage au creux de ton poignet droit, fait clandestinement il y a des années. Un petit croissant de lune que personne ne remarquait.  Tu l'adorais mais tu regrettais de l'avoir fait seule car il s'était infecté. Il y a des lunes là où tu es partie?

    Je décidais de m'aventurer pieds et bras nus dans un des champs voisins baignée de cette douce lumière. Je m'allongeais dans la neige. J'avais froid mais la lune me fascinais. Tandis que le froid s'emparait de moi, je me demandais si tu te promenais tout là haut. La lune me donnait une étrange sensation. Cette nuit là, j'aurais juré qu'elle m'avait sourit. 

     

    Le lendemain, ils avaient pensé que je voulais mourir. Mais moi, je voulais juste te rejoindre. Ils ont dit que ça ne faisait pas de différence. Et maintenant, j'aimerais juste comprendre pourquoi mon poignet droit me démange.

     

     

    Ama 

    Ce texte n'a aucun sens, ou il en comporte trop, je n'ai pas encore décidé.

     

     


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  • Hello à tous! 

    J'écris ce petit et simple article pour vous présenter mes meilleurs voeux pour 2016. Je vous souhaite plein de bonheur, santé... N'oubliez pas de bien profiter des petits plaisirs de la vie, même ceux qui paraissent insignifiants!

    J'espère pour ma part avoir plus de temps pour écrire et être présente sur le blog, et sur Eklablog en général.

     


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  • Je l'avais rencontré à une époque étrange de ma vie. Elle était telle une louve égarée dans la merveilleuse et étrange forêt qu'est la vie. Le temps c'était arrêté, je crois. Je me suis souvent demandé si il avait repris sa fuite depuis ce mois là, où j'avais commencé à nettoyer ses plaies. J'en avais moi aussi, mais elles étaient différentes, et d'origine encore inconnu aujourd'hui. 

    Elle était méfiante, mais avait foi en moi. Et moi, j'ai toujours su qu'elle avait ma confiance entre ses mains malgré moi. Mais elle savait, elle a toujours su qu'au moindre faux pas, au plus faible pincement, à la plus mince brûlure, je pouvais exploser en faisant très mal. Elle dira peut être que c'est faux, mais je suis seule. Je l'ai toujours été et ce n'est la faute à personne, juste la mienne. Mais elle reste encore.

    Elle est La Colombe et je suis le Corbeau. Depuis Toujours et l'inverse n'est pas vrai. Cela n'a jamais voulu dire qu'elle est blanche comme neige et moi noire comme la suie. Cela n'a jamais voulu dire qu'elle est la gentille et moi la méchante sorcière. Car le Corbeau peut être gentil comme la Colombe peut être méchante. Mais elle sera toujours la Glace et moi les Cendres. Vous savez, pour les gens comme elle et moi, il n'y a pas de gentil et encore moins de méchant. Il n'y a que des anti-héros et des méchants pas si méchants que ça. Comme dans l'histoire de **Peter Pan**.

    Mais elle est Colombe et moi Corbeau. 

    Elle n'est pas toxique, et je ne le suis pas non plus d'ailleurs, quand est ce qu'elle le comprendra? Pourquoi dès que ça va pas, dès que qu'elle fait mal à quelqu'un sans forcement le vouloir, ou qu'une personne la fuit elle reste fermée à répéter que qu'elle est méchante, blessante, horrible? Pourquoi? Pourquoi elle ne veux rien entendre quand je lui apporte des conseils pour avancer dans ces moments là? Je sais qu'on est très différentes elle est moi, mais pourquoi j'arrive à prendre ses conseils et elle pas les miens. Peut être est ce qu'une impression après tout.

     

    Tu es La Colombe et je suis le Corbeau. Depuis Toujours et l'inverse n'est pas vrai.

     

     

    Amandine

    (**Peter Pan**, la Version Originale par James Barrie)


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